Suède, Italie, le réveil des peuples de l’Europe !

Après la Suède, l’Italie, à qui le tour ? La parenthèse covidienne s’est refermée et la soumission organisée des peuples européens craque de toutes parts. On a beau  tourner leur attention vers l’Ukraine et la menace qu’un “dictateur” russe ferait peser sur la liberté des Européens, ça ne prend plus qu’à moitié. Le constat s’impose : l’oligarchie bruxelloise et ses antennes chez ses vassaux européens révèle jour après jour sa nullité et donc sa nocivité : ses contre-sens économiques, énergétiques et monétaires, son incapacité à affronter les problèmes cruciaux, son alignement sur Washington démontrent que sa légitimité technocratique, et non démocratique, celle qui trouverait sa source dans le savoir technique et non dans la volonté populaire, est une imposture et une usurpation. Elle a préparé la crise énergétique, relancé l’inflation, et se mobilise hors de sa compétence dans une guerre américano-russe pour susciter une apparente solidarité européenne qui se lézardera et se lézarde déjà quand apparaissent les conséquences calamiteuses de sa politique de gribouille : création monétaire démagogique, alourdissement de la dépendance énergétique, recul de la compétitivité, et guerre par procuration qui cache momentanément la catastrophe économique mais ne fait qu’en accroître l’ampleur. A part ce désastre économique et social dans un domaine où elle se disait détentrice de la vérité, la question de la continuité et de l’identité des peuples européens était pour elle un problème négligeable, honteux même puisque porté par l’extrême-droite.

Comme l’a dit Giorgia Meloni, la fête est finie. Madame Von der Layen que personne n’a élue, membre de la CDU battue en Allemagne, Monsieur Michel que personne n’a élu, membre du MR Wallon qui n’est même pas majoritaire en Wallonie, ne représentent rien sur le plan démocratique. Ils sont simplement les acteurs principaux d’un spectacle coûteux et superflu qui s’appelle l’Union Européenne, de plus en plus fédérale alors que les peuples en veulent de moins en moins. Les Français avaient clairement exprimé leur refus de voir leur souveraineté nationale s’effacer au profit de l’Europe fédérale. La spécificité électorale du pays, l’orientation majoritaire des grands médias pour soutenir le fédéralisme et le coup d’Etat médiatico-judiciaire de 2017 ont placé à la tête de l’Etat un fédéraliste acharné pour lequel la France est un vieille dame qu’il faut euthanasier, qu’il faut aider à mourir sans même qu’elle s’en rende compte, en changeant sa population, en la dégoûtant de son histoire et de son identité, en la soumettant aux instances supranationales, et en l’alignant sur Washington. Les dernières législatives ont montré combien le pouvoir actuel était illégitime : il n’est plus qu’un malentendu. L’homme qui est au pouvoir ne l’est que parce que les Français n’ont pas encore franchi le Rubicon comme les Italiens viennent de le faire. Ce n’est que partie remise. Les exemples européens d’alliance de la droite face à la décadence et au déclin, face à la menace existentielle qui pèse sur des nations en voie de submersion migratoire sont des leçons !

A moins de ne restreindre l’information à la propagande américaine contre l’intervention russe en Ukraine, sur laquelle notre gouvernement, loin de chercher à l’arrêter, jette l’huile de ses armes, à moins de se concentrer sur la réforme des retraites réduite à une mesure comptable tardive mais grosse de colère sociale, à moins de se consacrer au pouvoir d’achat et au cercle vicieux de la dépense publique et de l’inflation, il est possible de privilégier le problème qui dépend, lui, de la volonté politique nationale et non d’un contexte international sur lequel nos gouvernants n’ont que peu de prise : l’immigration folle et l’insécurité qui en résulte, cette évidence qui s’impose après des années d’aveuglement idéologique volontaire. Les informations pleuvent, les faits divers se bousculent, mais vont tous dans le même sens. A Nantes ( 407e/453)* , ce sont des soudanais, connus des services de police, mais en liberté parce qu’on a renouvelé leur titre de séjour, qui volent et violent une femme de 40 ans. A Rennes ( 314e/453)*, autre ville bretonne qui figure aussi dans les villes les moins sûres de la planète désormais, un homme a été blessé par balle à un arrêt d’autobus, hier dimanche, comme à Marseille ( 388e/453)*, mais la police doit se mobiliser pour contenir des manifestants d’extrême-gauche qui veulent empêcher une réunion de Jordan Bardella. A l’aéroport de Marseille, justement, c’est un Algérien expulsé (ça existe !) muni du visa de son pays sans lequel ce serait impossible, qui se rebelle, injurie, blesse les trois policiers de l’escorte, leur crache dessus, et finalement n’est donc pas expulsé. A Anglet, dans les Pyrénées-Atlantiques, cinq policiers sont blessés par le conducteur d’une voiture volée qui refuse s’arrêter et les percute. On le recherche, et certains osent critiquer les policiers qui tirent et atteignent leur cible ! Si on ajoute le lycéen de quinze ans, lynché à Jouy-le-Moutier par une meute de sauvageons encapuchonnés, et que l’on constate l’indifférence des condisciples de l’établissement devant un fait banal à leurs yeux, et la passivité complice du maire divers-gauche qui ose : “il était là au mauvais endroit et au mauvais moment”, on ne peut conclure qu’à la chute vertigineuse de notre pays et de son art de vivre. Il y a quelques semaines, deux faits avaient retenu l’attention : c’était une dame de 89 ans rouée de coups et volée à Cannes par deux adolescents de 14 et 15 ans. Le Maire, président des maires de France avaient demandé la fin de l’excuse de minorité pour des faits aussi graves et réclamé la fin des aides sociales pour les parents. Plus récemment, un homme de 92 ans a été agressé violemment et laissé pour mort par un toxicomane du XIXe arrondissement de Paris, là où se regroupent les consommateurs de crack. Insuffisance de la réponse pénale, malgré l’efficacité des identifications grâce à cette vidéosurveillance que refusait et refuse encore parfois la gauche, lâcheté collective et institutionnelle face à la violence de peur de devenir soi-même victime d’une double peine en étant sanctionné par les tribunaux après avoir été agressé par des délinquants, laxisme généralisé qui tolère l’intolérable et laisse s’étendre les zones de non-droit où la loi et l’autorité sont bafouées : telle est la dérive française, où des élus prétendent défendre les femmes en  pointant davantage une scène de ménage qu’un viol collectif commis par des migrants, au nom de l’idéologie woke et de la solidarité des combats minoritaires, l’intersectionnalité,  face au conservatisme de la société.

La prise de conscience de cette spirale mortelle pour notre civilisation, pour nos nations, pour nos libertés, est nécessaire et urgente. Il faut souhaiter que le printemps des peuples européens inauguré par la Suède et l’Italie s’épanouisse avant qu’il ne soit trop tard.

* (classement mondial des villes pour la sécurité)

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