Journée nationale d’hommage aux victimes du communisme

C’est le but d’une proposition de loi qui a été déposée à l’Assemblée nationale, le 17 novembre 2008. Celle-ci vise à instituer une journée nationale d’hommage aux victimes du communisme.

Son objet : l’instauration, le 9 novembre, date de la Chute du Mur de Berlin, d’une journée nationale d’hommage aux victimes des régimes communistes.

Elle s’inscrit dans des attendus clairs précisant notamment : « L’opinion publique est encore hélas très peu consciente des crimes commis par les régimes communistes totalitaires, et pour plusieurs raisons. Jamais les crimes commis au nom du communisme n’ont fait l’objet d’enquêtes ou de condamnations internationales, contrairement aux crimes commis par son jumeau « hétérozygote » selon l’expression de l’historien Pierre Chaunu, l’autre régime totalitaire du XXe siècle, le nazisme. L’absence de condamnation s’explique aussi en partie par l’existence de pays dont les gouvernements adhèrent toujours à l’idéologie communiste ».

Cette proposition de loi a été déposée à l’initiative du député du Tarn Bernard CARAYON, et j’en suis bien évidement l’un des cosignataires.

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8 commentaires

  1. Y a t il un élu qui aime la France ? C’est à se demander…

    **Où l’obamania nous mènera-t-elle ?

    Après une élection des miss France très idéologique, toute à la gloire du métissage, voilà qu’au sein-même de l’UMP, on s’agite pour “la diversité”, et la “concrétisation d’une France métissée”.

    Au menu du programme du “Cercle de la diversité républicaine”, une instance de l’UMP, que du gratiné :

    * Assurer la présence des minorités dans les cinq premières places des listes départementales des prochaines élections régionales ; (Quel respect pour les parlementaires sérieux et compétents qui se verront truster la place au nom d’une politique raciale !)

    * Conditionner l’attribution de marchés publics à une représentation des minorités dans les conseils d’administration des entreprises (là on tombe dans le n’importe quoi délirant !) ;

    * Généraliser les “voies parallèles d’entrée” par concours ; (En violant l’article 1er de la Constitution !)

    * Créer un “ministère de la diversité”, doté d’un budget propre et d’une administration ; (on ignore donc à l’UMP que la France est en pleine crise économique ?)

    * Et, bien sûr, l’inévitable “grenelle de la diversité”…

    Ces propositions sont, en France, pleinement dans l’air du temps.
    Depuis l’élection de Barack Obama aux Etats-Unis, et même si celui-ci s’est prononcé pendant sa campagne contre des mesures de discrimination ethniques, tout ce que la France compte de “modernistes” auto-proclamés, au PS, à l’UMP et ailleurs, se livrent à un véritable concours Lépine du plus “ethniquement-correct”…Jusqu’au président Sarkozy qui s’est récemment prononcé en faveur de la discrimination positive.

    Quand je vous dis que çà “gauchise” dur à l’UMP ! Ha Carla est un bon agent !

    Ce brassement d’air et d’idées éculées, voire franchement ridicules, est une arnaque dangereuse qu’il faut vigoureusement dénoncer :

    1. En premier lieu, vous remarquerez que la diversité se résume toujours à la diversité de couleurs et d’ethnies. Vous ne trouverez plus personne pour vous parler de diversité sociale, ou pour s’offusquer de la disparition des fils d’ouvriers et d’employés des bancs des grandes écoles. Même les aspirant-miss France ont valorisé samedi soir sur TF1 leur “métissage”, sans jamais s’attarder sur leurs origines sociales.

    Tout ce cirque n’est qu’une manière d’entuber les citoyens, une fois de plus.
    En effet, plus on nous parlera de quotas ethniques, de “France métissée” et de discrimination positive, moins on s’attaquera aux vrais problèmes que constituent la ségrégation sociale et l’homogénéité idéologique et sociale des élites. On lance un leurre pour enfumer et éviter de s’attaquer aux racines du mal, en profondeur.

    Le probable remplacement de Rachida Dati en janvier prochain au ministère de la Justice par Fatine Layt illustre parfaitement cette dérive. La “diversité” au sens de nos ethno-maniaques sera préservée, puisqu’une beurette remplacera une beurette. D’une point de vue social, ce serait une catastrophe.
    Quelle tromperie en effet, que de vendre à l’opinion la nomination de la fille du président de Royal Air Maroc, multimillonnaire et directrice générale de Sygma Presse par relation dès l’âge de 28 ans, comme un acte de diversification du recrutement des élites !

    Les fanatiques de la “diversité” sont par ailleurs les pires destructeurs du lien social.

    Ils ne voient pas des Français, mais des blancs (la “majorité invisible” ?), des noirs, des beurs, et des jaunes. Ils ne voient pas plus des ouvriers, des employés, des fonctionnaires, des patrons, des bourgeois, des professions libérales, mais des concentrations différentes de mélanine dans l’épiderme. A leurs yeux, un noir est un noir, et l’analyse s’arrête là. Au mépris de tout ce que nous a appris la sociologie et la philosophie politique, ils versent dans la simplification trompeuse ! (En violation, encore une fois, de la Constitution : la France ne reconnaissant qu’une communauté : les Français)

    De façon paradoxale, ces fanatiques également très souvent autoproclamés champions de l’antiracisme réduisent le citoyen à sa…”race”, l’enferment dans une identité prédéterminée. Ils sont les premiers à s’offusquer de l’emploi du mot “race” (cf la pitoyable affaire Zemmour, où nos petits terroristes de la pensée unique ont encore fait fort), tout en préconisant des mesures d’exception pour ce qu’ils nomment pudiquement les “minorités visibles”, selon des critères “ethniques”, ceux de la “diversité”…Belle hypocrisie.

    On pouvait penser que les Lumières et la Révolution française nous avaient extirpés de cet obscurantisme tribal. Et bien il faut croire que non. Le progrès social, la réduction des inégalités et la remise en marche de l’ascenseur social devraient être le pivot de toutes nos politiques.Ce n’est pas le cas. Ces problèmes de fond sont relayés à l’arrière-plan, au profit des gadgets, des leurres et de la démagogie trompeuse.

    Les communautaristes ethnicistes ont pris le pouvoir. Ils profitent de l’incapacité d’un Système en failitte à s’attaquer à la question sociale depuis 25 ans pour imposer leur idéologie nauséabonde.

    A quand le respect de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui pose comme critères de sélection le mérite, le talent, et les vertus ? Et non des critères discriminants parfaitement anticonstitutionnels.

    **La France que j’aime

    Observateur impitoyable et généreux de notre fascinant pays, loin de faire un état des lieux ou de partir à la recherche du temps perdu (c’était mieux avant), Andreï Makine, dans son récent ouvrage “cette France qu’on oublie d’aimer” nous raconte en quoi nous avons touché, révolutionné le reste du monde. «Cette impalpable quintessence française qui m’intéressait avant tout ». Il nous parle d’une France ignorée où nos auteurs avaient autre chose à proposer que le nivellement par le rien. On était loin du matraquage «tolérantiste », relativiste et ethno-masochiste imposé par l’Etat. Si délires idéologiques il y avait, on pouvait entendre d’autres sons de cloche que celui de la « bien pensance ».

    “Cette France qu’on oublie d’aimer”, c’est l’histoire culturelle de la France et par la même de l’Europe, à travers la complexité, la singularité de l’univers français. Des auteurs comme Julien Green ont cherché à définir cette fascination ou au contraire à la railler comme Tolstoï, Tchekhov ou Dostoïevski. Pourtant, chez ces géants, l’esprit français se retrouvaient, non dans les paillettes de la mode, l’art de vivre ou dans la gastronomie, mais bien chez les auteurs français, sommet intellectuel de la civilisation française.

    La perception d’un pays est tissée de mythes, de théâtres, de belles mises en scènes. Ce que De Gaulle avait bien compris avec ses Mémoires de guerre. Les rêves mobilisent bien mieux que les savants calculs et le bon sens. Matériellement la France compte peu, elle n’est plus une grande puissance. Pourtant elle a pesé sur le monde grâce à sa « vocation naturelle » comme le soulignait Bernanos, et son héritage d’idées. Cette « francité » et ses formes, c’est tout un style transmis par tout un vécu national, un mode de vie, une façon unique d’exprimer les contradictions d’une époque donnée, c’est aussi et surtout une langue avec ses nuances, ses trésors, sa clarté, ses figures de style.

    La destinée de la langue française est unique dans la passion qu’elle provoqua et ce, grâce à ses immenses auteurs qui ont su transmettre au monde sa puissance, sa substance, sa façon unique de s’emparer du réel, de le penser, de le clarifier dans tous les domaines : droit, théologie, littérature, histoire, sciences naturelles…. Elle fut et demeure autre chose qu’un simple moyen de communication comme l’anglais est perçu aujourd’hui.

    Mais une langue est fragile et le déclin, le recul la guettent dans une France ravalée au niveau d’une Europe sans foi et sans identité, perçue comme une simple province, gérée par un personnel indigent incapable de défendre des idéaux et la langue qui les accompagne.

    Pourtant, la posture intellectuelle française reste un « sport national » alors que la France n’a plus aucune création originale à offrir. Elle cultive une espèce rare : l’intellectuel, ou l’indigné professionnel. Au XXè siècle, il s’est trompé sur tout. Il sait parler des déshérités, du racisme, de la crise des banlieues du fin fond du 16ème ou du 6ème arrondissement de Paris. Au choix. Toujours enclin à une indignation, une vigilance, une mobilisation, il a défendu Mao et les Khmers rouges, Castro et le Che. Irresponsable, complice des massacreurs, cette incohérence est douloureuse pour qui vient d’un pays communiste. Ce qui frappe aussi chez Andréï Makine, c’est le décalage à la soviétique entre le discours officiel véhiculé par des médias à la botte, et les propos des Français en privé. On assiste à un double langage, l’un qui prend appui sur l’idéologie et l’autre sur la dure réalité des faits.

    Bien-pensance contre pensée insoumise. La pensée française est engluée dans un conformisme « matriarchique » et hygiéniste qui transforme le pays en champ de ruines. La néo-inquisition citoyenne, ce lent travail sur les consciences fait accepter aux Français la censure généralisée. Finie la liberté d’aborder l’homme, l’histoire, c’est la litanie des interdits : colonisation, collaboration, immigration déferlante, menace islamiste, activisme des minorités, communautarisme… à vous de compléter la liste si vous en avez le courage. C’est le temps du chantage émotionnel à deux centimes de culture et de pensée. La théorie d’un monde idéal, mais imaginaire, multiculturel, multiracial, solidaire, tolérant, mais qui ne souffre d’aucune contradiction, d’aucune remise en cause. C’est l’adieu au pays réel, l’imbécilité satisfaite, la « civilisation d’estomacs heureux » (Bernanos). Refus de la réalité, interdit de la relater. Les crachats et les insultes n’existent pas. En parler, l’écrire vous range dans le tiroir des réactionnaires. Qui ose encore dire que la diversité n’est pas une richesse, que l’immigration n’est pas une chance, que ce n’est qu’une publicité mensongère dont le rôle est de masquer l’étendue des dégâts ?

    A la haine d’une partie de la population d’origine étrangère pour les Français de souche, parce qu’ils sont faibles ou perçus comme tels, répond une haine de soi, cette « fatigue d’être » qui est la cause de tous nos maux. Il devient rare de voir des Français fiers de leurs racines. Il est atterrant de les voir de plus en plus ignorants et étrangers à leur culture, étrangers à leur pays. C’est une maladie grave qui touche autant les Français de souche que les immigrés.

    Heureusement, les Français aiment encore la France, même si on leur rabâche qu’ils ne doivent pas l’aimer. En témoigne l’élection présidentielle mais aussi le référendum de 2005, tous les deux gagnés en raison de cet appel à être Français et fier de l’être.

    Va t on cesser de faire autant de mal à la France ? Y a t il un député courageux pour la défendre ?

  2. La gauche Parti Communiste, Parti Socialiste et tous leurs petits amis et alliés vont pas être contents. Une chose est instituer un hommage aux victimes du fascisme, nazisme et franquisme et l’autre est le faire ‘a celles de la charmante dictature du prolétariat marxiste leniniste

  3. Il faut absolument soutenir cette proposition, il semble en effet que nos bons professeurs d’histoire géographie forment des jeunes qui se feront un plaisir d’arborer t-shirts et autres articles à la gloire de Guévara.
    Le communisme est un crime contre l’humanité, on ne le répétera jamais suffisamment.

  4. Peu d’enseignants ont la franchise et le courage de démontrer que le fascisme est un surpassement du socialisme; d’expliquer qu’il est utile pour les fascistes que la seule opposition apparente soit celle des communistes: les classes riches sont portées à croire que la fin de la dictature entraînerait la victoire du communisme.

  5. Comme si il n’y avait rien d’autre à faire en France que d’aller une fois de plus cracher sur le Communisme.
    Je suis conscient que de nombreux abus ont été commis au nom de l’idéologie Communiste, mais dire Communiste = totalitaire c’est un amalgame, au même titre que de dire jeune de banlieue = délinquant.

  6. L’idéologie communiste est bel et bien un totalitarisme. Et même l’un des pires, puisqu’au nom de l’égalité (comprise comme un égalitarisme, une égalité de fait, et non une égalité de droits), l’idéologie communiste commence par tuer la liberté de penser et d’agir de l’individu (nécessairement génératrice d’inégalités), mais également, en prime, l’égalité de fait même qu’elle prétendait instaurer !

    Puisque, pour maintenir cette dangereuse utopie, nos égalitaristes communistes (quelle que soit leur chapelle) sont inéluctablement amenés à instituer des « plus-égaux-que d’autres », chargés de jouer les gardes-chiourmes pour maintenir par la force, dans ces prisons à ciel ouvert que sont les régimes communistes, cette utopique et impossible égalité. Et des « encore-plus-égaux-que d’autres », la Nomenklatura, pour gérer cette égalité de moins en moins égalitaire.

    Résultat implacable : la fameuse « Égalité » ne tue pas seulement la Liberté (la Fraternité, n’en parlons même pas, si ce n’est une fraternité de profiteurs et d’assassins), mais même se tue elle-même !

    Ce qui rend ce totalitarisme particulièrement hypocrite et abject, par rapport à d’autres totalitarismes, comme le nazisme et l’islam, c’est qu’il se présente sous les couleurs d’un soi-disant « totalitarisme du Bien ». On retrouve d’ailleurs dans le communisme toute l’abjection de l’esprit robespierriste : éliminer l’adversaire au nom du « Bien », du « Progrès », de la (déesse) « Raison », des « Lumières » ou de la « Révolution » . La filiation est évidente !

  7. ” The United States and other like-minded nations find themselves directly opposed by a regim of contrary aims and a totally different concept of life. That regim adheres to a false philosophy which purports to offer freedom, security and greater opportunity to mankind. Misled by that philosophy, many peoples have sacrificed their liberties only to learn to their sorrow that deceit and mockery, poverty and tyranny, are their rewards. That false philosophy is communism.”

    Harry Truman, extrait du discours d’investiture, 20/01/1949

  8. Reçu ce jour :

    Au nom du Conseil Naional pour la démocratie au Laos, mouvement en lutte pour la liberté , la démocratie , les droits de l’homme et contre le communisme , nous soutenons vivement la proposition du groupe de députés UMP pour le 09 novembre comme “Journée des victimes des régimes communistes”, et nous souhaitons , si possible , que cette Journée soit internationale .
    Président du LAO-NC.

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