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Je suis régulièrement sollicité par des concitoyens ou des élus locaux qui souhaitent rejoindre la Droite populaire. Les membres de ce collectif sont des députés, mais la charte peut être signée par tous ceux qui partagent nos valeurs.

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4 commentaires

  1. Juste pour savoir…

    Comment est considérée “la droite populaire” sur le plan juridique ? Et par l’UMP ?

    Est ce un “mouvement” un peu comme l’est la formation “centriste” de l’UMP (M. BORLOO en guest star) ?

    Est ce une “entité” sans forme juridique, qui fait connaître son avis ? Une sorte de mic mac entre l’association 1901 et le bistrot du coin ?

    Est ce une entité avec forme juridique, qui fait connaître son avis : en quelque sorte, êtes vous un “lobby” (au bon sens du terme) accrédité par l’UMP ?

    Est ce un “club de réflexion” comme “le Chène” (MAM) ou “génération” je ne sais plus trop quoi (M COPE) ?

  2. Pour parler de choses plus sérieuses, la “droite populaire” ne pourrait elle pas secouer, un peu, le Président, pour qu’il arrête de faire des bétises…Et se décider à arranger les choses au niveau bancaire, sans pour autant spolier les contribuables ?

    Sait on jamais…Cà pourrait même lui redonner un peu de popularité ! Et votre “mouvement” pourrait vraiment se targuer d’être “populaire” !

    Actuellement, es plans de sauvetage des banques (et des Etats : Grèce, Portugal) décidés un peu partout (en violation des traités européens en plus) se succèdent mais ne semblent apaiser en rien les craintes des investisseurs quant à leur solidité.

    Pourtant, des choses pourraient être faites, effiscientes et populaires :

    L’Etat pourrait, en effet, faire porter une partie du fardeau de la crise de l’évaluation des obligations pourries sur les créanciers.

    Les avantages d’une telle restructuration ne s’arrêteraient pas à la solvabilité des banques: en prenant acte que l’Etat n’interviendrait pas pour racheter des actifs toxiques, les banques gestionnaires de ces actifs, principalement des « Mortgage Backed Securities » (MBS), devraient tout mettre en oeuvre pour en rendre moins opaques le contenu.

    Ainsi, elles pourraient trouver des acheteurs prêts à faire de bonnes affaires, notamment chez les Hedge Funds qui le peuvent encore, tels que le fonds texan de John Paulson, homonyme de l’ancien secrétaire au trésor.

    En effet, ne nous y trompons pas : au final, il est probable que, si l’Etat ne s’en mêle pas, une grande partie des prêts composant les MBS seront remboursés jusqu’à leur maturité, le taux de faillite personnelle des emprunteurs restant somme toute «raisonnable », à quelques pour cent.

    En rachetant ces titres de dette pour 50 à 60% de leur nominal, voire moins, un bon négociateur peut s’assurer des rendements bruts supérieurs à 10% sur la durée du prêt !

    En outre, s’il négocie particulièrement bien son rachat, le hedge fund peut concéder, pour sécuriser ses remboursements, un abandon partiel de créance aux propriétaires surendettés, ce qui permettrait de parvenir à un des objectifs de l’administration Obama sans avoir, là encore, à y mettre l’argent du contribuable.

    On le voit, il existe des moyens de sauver les banques qui ne creusent pas les déficits publics et n’imposent pas de contraintes indues à des contribuables qui n’en peuvent plus, tout en étant bénéfiques socialement.

    Mais la mise en oeuvre suppose que les pouvoirs politiques acceptent un conflit dur avec de très gros détenteurs d’intérêts financiers. Lesquels s’avèrent être les…Conseillers de M. SARKOZY (tous en conflit d’intérêt bien sur)

    Alors…C’est à voir : M. SARKOZY veut il continuer à être le Président des riches…Ou se donnera t il la peine d’être (pour une fois) celui de la France ? Et la “droite populaire” lui “soufflera” t elle l’idée ?

    La solution choisie par M. SARKOZY est mauvaise pour le pays et même pour lui. (Electoralement parlant)

    Tout d’abord, elle perpétue l’aléa moral que le mérite ne paye pas et que ce sont toujours les mêmes qui banquent. En perpétuant l’idée que l’état viendra en aide aux établissements qui ont mal géré leur activité, ces rachats d’actifs toxiques préparent le terrain des crises de demain. Pourquoi les banques feraient elles preuve de plus de sérieux…Si elles ont la certitude de voir les Etats pallier leurs erreurs ?

    Mais il y a pire: cela ne sauvera pas le système bancaire.

    Ces rachats transforment des titres obligataires devenus totalement illiquides en espèces, reportant sur le trésor public la charge d’en tirer le meilleur prix. Toutefois, l’Etat ne rachète fort heureusement pas ces bons au cours nominal mais à une valeur grossièrement dépréciée.

    Les banques détentrices doivent donc inscrire à leur actif cette dépréciation, laquelle se traduit au passif par une réduction de leurs fonds propres TIER1. Or, les banques vivent depuis longtemps sur des modèles financiers à très fort effet de levier, sans fonds propres suffisants pour absorber une répétition de telles pertes. En outre, ces dépréciations les obligent, coefficients prudentiels de Bâle obligent, à réduire leurs encours de prêts et d’investissement, ce qui renforce leur effet procyclique, accentuant les difficultés de financement de l’économie non financière, et donc le risque de faillite de leurs clients… ce qui dégradera la qualité des prêts inscrits à l’actif des banques, et ainsi de suite ! Terrible cercle vicieux, menant à des faillites spectaculaires.

    Ces opérations de défaisance ne règlent pas le problème majeur que révèle la crise: le niveau des fonds propres bancaires est insuffisant pour faire face aux risques qu’elles détiennent dans leur portefeuilles d’actifs. En bon français, elles sont structurellement insolvables.

    Les banques ne sortiront de l’impasse financière qui est la leur qu’en désendettant le passif de leur bilan, et donc en concluant à grande échelle des accords d’échange « dette contre capital ».

    De tels accords sont le moyen usuel de résoudre les faillites importantes dans les entreprises non financières. Leur intérêt est de soulager les trésoreries en éloignant le spectre de l’insolvabilité, car une fois transformée en parts du capital, la dette cesse de devoir être remboursée. A court terme, le créancier subit une perte, au même titre que les actionnaires, mais il conserve l’opportunité de se refaire si la banque, une fois recapitalisée, retrouve, grâce à une amélioration de sa gestion, un cours de bourse digne de ce nom.

    Les obstacles à la conclusion de ce type d’accords sont nombreux. Tout d’abord, leur négociation est généralement longue et les empoignades entre actionnaires et créanciers sont parfois homériques. Quitte à devoir intervenir, l’Etat pourrait forcer, en cas de quasi-faillite constatée d’une grande banque, un tel accord « express », par exemple sur la base de la conversion automatique de 20% des dettes en capital au dernier cours coté.

    Les actionnaires, de toute façon lessivés par la perspective d’une faillite, se consoleraient en partageant une petite partie de la peine avec les créanciers. Certes, une telle procédure ne serait pas sans poser quelques problèmes éthiques, car pas exactement respectueuse du droit de propriété. Mais lorsque l’alternative consiste à faire payer aux contribuables les fautes de gestion des mauvaises banques, la morale…!

    Et puis, tant qu’à faire, je préfère une petite entorse au droit de propriété – la DDHC permet un dépassement de la loi et du principe constitutionnel si la situation l’exige – plutôt qu’une violation permanente (et volontaire) des traités en plus de la spoliation des citoyens.

    Ne serait ce que pour les collectivités locales…La chose serait appréciable.
    http://blog.turgot.org/index.php?post/L%E2%80%99affaire-Dexia%2C-symbole-de-l%E2%80%99incomp%C3%A9tence-des-%22%C3%A9lites%22-dirigean

  3. Je ne peux signer ce texte en l’état car il contient une grossière erreur : “4-Sécurité, première des libertés”.

    En effet, d’une part la première des libertés, c’est la liberté d’expression (articles 10 et 11 de la DDHC 1789, articles que leurs trois rédacteurs ont payé de leur vie ou d’une peine d’emprisonnement entre 1792 et 1794) ; d’autre part la sécurité, ou sûreté, figure explicitement dans cette DDHC, article 2, comme l’un des quatre droits de l’homme (avec la liberté, la propriété et la résistance à l’oppression).

    Je propose que l’on adresse à tout nouvel inscrit le texte de la Constitution de 1958 (parfois, il serait bon de l’adresser aussi à des élus de longue date …)

  4. Il faudraitun peu plus que de la langue de bois (à laquelle Copé disait avoir renoncé, pour que l’on devienne fan de la DP. Il me semble important, pour la crédibilité de nos hommes politiques en général et pour celle de Xavier Bertrand en particulier, que la promesse d’avancer du 10 au 1et du mois suivant, qui concerne environ 14 millions de citoyens (hors les 3 départements d’Alsace-Moselle) soit tenue dans les délais prévus, ou bien que ceux qui s’y opposent soient virés, ou bien que ce ministre démissionne.

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