My country, right or wrong*

Beaucoup de responsables politiques Français devraient méditer cet adage britannique. 48% des français contre 42% donnent raison au gouvernement sur l’expulsion des ROMS, malgré le rouleau compresseur de la bienpensance tartuffienne.

Parmi les habitudes historiques les plus néfastes de notre pays, il y a celle qui a consisté à renforcer nos dissensions intérieures en nous appuyant sur l’étranger. Des guerres de religion à la collaboration, en passant par la fronde et les émigrés, beaucoup ont préféré l’intérêt du parti à celui du pays. Or, dans l’affaire des ROMS, notre pays a raison. Il n’a pas vocation à suppléer les insuffisances de la Roumanie à l’égard de sa population. Que des personnes, que des familles viennent en France avec un projet d’insertion par un travail honnête et un logement décent, cela s’inscrit dans une politique d’immigration raisonnable. Que des groupes entiers occupent, dans des conditions insalubres, des camps autour desquels se développent les vols, les cambriolages, la prostitution, la mendicité agressive, qui impliquent notamment de nombreux mineurs, c’est moralement et politiquement insupportable.

Ceux qui critiquent avec véhémence la volonté de s’y opposer commettent deux fautes majeures.

D’abord, ils se font les complices des réseaux qui exploitent ces migrants : les caïds locaux qui perçoivent leur dîme, les trafiquants de métaux, les passeurs qui organisent les déplacements, ils se font les complices de l’inertie des gouvernements des pays d’origine.

En second lieu, et c’est encore plus grave, en fustigeant leur propre pays, à travers le Président de la République et son gouvernement, des hommes politiques français, notamment des anciens premiers ministres dont le bilan n’a guère été brillant, trahissent l’intérêt supérieur de la France. En mêlant leur voix à celles des ressortissants d’Etats qui n’ont aucune légitimité pour critiquer la France sur ce terrain, ils ont affaibli une position qui est cohérente et raisonnable. Cette politique est, d’ailleurs, conforme aux souhaits exprimés par le Pape. Elle ne consiste pas à rejeter une diversité légitime, mais à mettre fin à une situation qui ne l’est pas. Il n’est pas légitime que des gens viennent dans un pays qui ne peut les accueillir, occupent des terrains qui ne leur appartiennent pas et se livrent à des comportements illégaux. Le Saint Père avait en 2008 appelé les Etats d’où proviennent les migrations à prendre leurs responsabilités afin de stopper une source de délinquance. La Conférence des Evêques de France en rappelant l’importance de l’accueil des migrants, avait « estimé normal que notre pays définisse une politique de l’immigration », notamment en vue de « pourchasser les mafias, et autres circuits d’immigration clandestine, employeurs véreux, marchands de sommeil, etc ». C’est exactement ce que fait notre pays en engageant un travail en commun avec les autorités roumaines et la commission européenne. C’est pourquoi il est regrettable qu’Alain MINC ait attaqué Benoît XVI d’une manière assez ignoble, car raciste dans le fond, en lui reprochant d’être allemand. Cette maladresse devrait incliner plus que jamais Nicolas SARKOZY à écouter le peuple de droite, et le peuple français en général, plutôt que cette cour médiatico-mondaine, qui lui a déjà fait tant de tort.

* Mon pays, qu’il ait raison ou tort

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4 commentaires

  1. Brice Hortefeux est un très bon ministre de l’intérieur. D’ailleurs, c’est si vrai que, la “justice” l’a condamné afin de le priver de ses droits civiques. Est-ce à dire que le Président de la République est l’objet d’une persécution judiciaire ?

  2. Merci une fois encore, Monsieur le Député, de votre courage sans faille. Le niveau de nombre des personnes dont s’entoure M. Sarkozy est hélas révélateur d’une conception de la France et de son Histoire qui me semble nous faire rouler vers l’abîme.

  3. Ce sondage est intéressant, effectivement. Mais voir en celui ci une approbation envers le Gouvernement me semble un peu hâtif.

    Pour commencer, le sondage lui même marque le trouble des Français sur la question. Il y a tout de même 10% de personnes qui n’ont pas voulu répondre, ce qui est loin d’être une bagatelle. Et l’écart entre les « favorables » et les « défavorables » n’est, lui aussi, pas très grand. Sachant qu’il y a, en principe, une marge d’erreurs de 5%, on peut tout aussi bien penser : qu’il y a 53% des Français qui approuvent que 43% ; 47% qui désapprouvent que 37%.

    Ensuite, M. HORTEFEUX a justifié ces reconduites à la frontière…Pour cause de montée de la délinquance. Or, on ne sait pas les raisons de la faveur ou de la défaveur des Français. Je m’avance un peu…Mais je pense que la première raison qui peut expliquer la faveur ou la défaveur des Français c’est le droit. Je veux dire par là que les Français entendent deux discours en ce moment : ceux qui expliquent que les ROMS sont présents illégalement sur notre territoire, ou du moins leur installation (dans des camps de fortune) l’est elle ; ceux qui disent que les ROMS sont (effectivement) des citoyens européens et qu’à ce titre ils ont la liberté d’aller et venir (garantie par les traités) et plus encore celle de résider dans un pays membre (accord de SHENGEN).

    L’analyse du sondage montre que les CSP + sont plus hostiles que les CSP – à la reconduite à la frontière. Je pense que cela s’explique justement par cette distorsion entre les deux discours entendus. Et la manière dont ces deux discours ont été portés. Et plus encore…Par qui. Dans les JT – notamment TF1 – l’affaire a été traitée sous l’angle seul de la loi. France 2 s’est fendue d’une explication rapide sur les traités européens mais pas suffisante pour avoir une vision claire des choses, si l’on n’a que peu d’intérêt pour les affaires européennes (en apparence à tout le moins). C’est la presse écrite – dont l’impact médiatique est évidemment moindre – qui a rappelé les accords signés par la France, le statut des ROMS, etc.

    Tout cela pour dire que les Français n’ont pas été informés correctement en la matière. Ce qui n’invalide pas le sondage, mais incite à la prudence, quant à son interprétation. En effet, si les expulsions des ROMS apparaissent légitimes aux Français, c’est d’abord parce que leur présence est perçue comme illégale. C’est un peu comme demander aux Français : « êtes vous favorables à l’expulsion des polygames » ? La réponse est forcément oui, puisque la loi interdit celle ci.

    Ces résultats s’expliquent aussi, à mon sens, par une deuxième raison : l’intervention de l’étranger. Qu’il s’agisse de l’Union Européenne ou de l’Église. Les Français sont extrêmement attachés à la souveraineté de la France. Ils l’ont d’ailleurs prouvé en 2005 en votant contre le TCE, qui instaurait un système où la France n’aurait plus eu que le rang de « région » de l’État européen. Et ce n’est qu’un ex. Car tout au long de l’histoire du pays, ils ont agi ainsi : en prenant le parti de l’État…Contre l’étranger. L’étranger étant, en plus, symbolisé par un homme notoirement connu pour son incompétence, son peu de souci de l’intérêt des citoyens, et j’en passe…Et par un Pape, dont les propos sont régulièrement instrumentalisés…Le ralliement des Français se comprend parfaitement. Du moins d’une partie des Français. A savoir ceux de « droite ». Le seul fait de « casser » du BARROSO, ne pouvait qu’inciter les partisans du FN à souscrire aux expulsions des ROMS par ex.

    Ceux qui ont décidé de s’abstenir de répondre, sont aussi intéressants. Il semble qu’il y ait eu une double « censure ». Des partisans de « gauche » qui ont préféré garder le silence que de « désapprouver » et des partisans de « droite » qui ont fait de même en ne « désapprouvant pas ». Bref, il y a quand même 10% de l’échantillon qui est dans un trouble important ! Les rayer d’un trait de plume me paraît peu judicieux.

    http://www.csa-fr.com/dataset/data2010/opi20100825-l-attitude-des-francais-a-l-egard-des-reconduites-a-la-frontiere-de-roms.pdf

    Sinon, je suis d’accord avec vous, en ce qui concerne les « insuffisances de la Roumanie » que la France n’a certes pas à « suppléer ». En revanche, pourquoi les ROMS devraient ils être les victimes expiatoires des…Politiques ? Car, désolé de vous le rappeler, M. VANNESTE…Mais n’est ce pas vous – et votre parti – qui a approuvé, l’élargissement de l’Union Européenne à 25 puis 27 ? N’est ce pas votre parti – qui semble ignorer ce que fait sa main gauche quand la droite travaille – qui vote chaque année les crédits d’adhésion pour la Turquie, bien qu’en paroles vous disiez être hostile à son entrée ? Quand la Turquie sera devenue un membre à part de l’Union Européenne…Que direz vous ? Il faut expulser ces mauvais Turcs, qui ont la fâcheuse idée de vouloir venir dans un pays où l’herbe est incontestablement plus verte que chez eux ?

    Qui, selon vous, a voté les traités établissant l’ouverture à l’espace SCHENGEN des « nouveaux pays » de l’Union Européenne…Sinon le Parlement français ? Qui, pouvez vous me le dire, M. VANNESTE, est allé poser son paraphe en bas d’un certain traité de Lisbonne ? C’est un peu facile, à mon sens, de mettre sur le dos des ROMS – des citoyens d’Europe en général, qui cherche la Terre Promise, qui s’appelle France (nous sommes tous attirés vers la lumière. Pourquoi voudriez vous que les citoyens restent dans la pénombre ? Quand on leur offre le droit d’atteindre le Soleil ?) – alors que les premiers fautifs, M. VANNESTE, et je suis désolé de vous le dire, c’est…VOUS ! Les politiques. Le Parlement. Le Gouvernement. Personne ne vous a contraint à voter. Vous l’avez fait en toute conscience…Des soucis qu’une telle ouverture, qu’un tel élargissement, ne manquerait pas de provoquer. Tant sur le plan social, économique, fiscal, environnemental, démographique, etc.

    Vous vous plaignez que les citoyens d’Europe issus de pays pauvres ou disons moins généreux envers leurs administrés, que la France, viennent dans notre pays ? Mais à quoi vous attendiez vous donc ? Qu’ils resteraient à contempler notre joyau sans rien faire ? A partir du moment où vous leur accordiez des droits…Notamment ceux de circuler à loisir et de résider en France…Il était incontestable que cela allait provoquer un « exode » vers le pays qui suscite le plus d’espoir pour eux : à savoir la France. En son temps, un certain Saint Louis supprima le « servage » dans le domaine royal. Que firent les serfs selon vous ? Ils vinrent s’installer dans les terres du roi ! Pourquoi auraient ils été assez bêtes pour continuer à trimer gratuitement pour le seigneur local, quand l’installation dans des « villes franches » permettaient de racheter sa liberté ?

    Les ROMS ne sont pas des serfs. Mais ils ont la même logique que ces derniers. Puisque la Roumanie les rejette…Pourquoi n’irait il pas dans ce pays de Cocagne qu’est notre pays – nous mêmes, si nous n’étions pas Français, serions nous assez bêtes pour rester là où nous avons la certitude de nous pouvoir vivre sereinement ? – puisque la législation européenne leur en offre la possibilité…Avec le consentement de la représentation nationale française ?

    M. VANNESTE…Vos « fautes majeures » ne tiennent pas. Les « migrants » dont vous parlez sont citoyens européens. C’est vous même qui leur avez accordé le droit de venir dans notre pays et d’y résider si l’envie leur en prend…Via le traité de Lisbonne notamment. Ils n’ont donc pas besoin de « passeurs » pour venir dans notre pays. Et si des « réseaux » existent, ils ont notamment pris de l’essor suite à « l’appel d’air » (merci le Parlement !) autorisé par la « prime à la reconduite ». Comme l’explique les ROMS eux mêmes, ou encore une Secrétaire d’État en Roumanie, l’expulsion à des allures de « vacances » tout frais payé par la généreuse République française. Résultat ? A peine descendu de l’avion, et après une visite rapide à la famille restée sur place, les ROMS prennent place dans un car qui les reconduit dans notre France, éventuellement accompagnés de cousins ou autres, qui seront par la suite expulsés…Avec quelques euros en plus dans les poches. Qui est donc, in fine, le dindon de la farce…Sinon la France ?

  4. La deuxième faute est aussi contestable. D’une part, la liberté d’expression est un des droits les plus précieux de l’Homme et du Citoyen. L’incompétence des Hommes ou du Citoyen n’enlève d’aucune manière aux uns comme à l’autre, le droit de s’exprimer, de critiquer, de proposer. Celle ci ne fait qu’affaiblir le crédit des opposants au Gouvernement. En tant que parlementaire, M. VANNESTE, vous ne pouvez concevoir comme une faute, le droit de donner son avis. Quant aux Chefs d’État, ils ont tout au contraire, la légitimité pour s’exprimer sur le comportement de la France…Dès lors que, de l’aveu même du Premier Ministre, dont vous avez souligné la sagesse, la question de l’immigration a une dimension européenne. Signataires des mêmes traités que la France, il est bien évidemment de leur devoir de rappeler à M. SARKOZY qu’il fait « preuve de manquement à ses devoirs dans l’exercice de ses fonctions » lorsqu’il ne garantie plus les traités. Puisque la Haute Cour, elle, ne s’en charge pas. M. SARKOZY a été élu prioritairement pour çà, M. VANNESTE. Être le garant de la parole de la République française. Surtout quand on se rappelle que M. SARKOZY s’est présenté comme l’artisan du traité de Lisbonne.

    Cela fait, au moins deux ans, M. VANNESTE, que les ROMS peuvent venir en France le plus légalement du monde. Cela fait deux ans qu’ils se prêtent, mais pas exclusivement, à des actes – la loi condamne les actes, pas les comportements en principe – que la République française réprouve. Découvrez vous cette situation M. VANNESTE ? Et là encore, si c’est la situation qui est problématique, pourquoi ne demandez vous pas à M. FILLON de faire modifier le traité de Lisbonne, lors des négociations avec la Croatie, en vue de son adhésion ? Et là encore, pourquoi ne demandez vous pas des explications à M. BARROSO et à nos représentants, qui votent sans sourciller la stratégie de Lisbonne II, qui fait l’éloge de l’élargissement…Et encourage à encore plus d’immigration ?

    Quant aux discussions avec l’État roumain, que ne voit on déjà l’impasse ? A moins de les mettre dans des camps  en Roumanie gérés par des anciens de la Securitate ou de leur supprimer leurs passeports sous quelque motif fallacieux, ils reviendront inévitablement. Actuellement, sous l’égide du FMI et de l’Union européenne, la Roumanie se trouve contrainte de couper drastiquement dans ses dépenses. Les salaires des fonctionnaires ont été ainsi réduits de 25% (un quart) et, tout va à l’avenant dans un secteur public, particulièrement sujet à la corruption en plus, selon les rapports à ce sujet de la Commission européenne !

    Le pays peine déjà à absorber les aides européennes prévues dans les divers secteurs  aidés dans la mesure où, partout, la corruption menace d’engloutir les sommes versées. Je ne vois pas de fait comment il pourrait avoir une action résolue d’insertion des ROMS. Si insertion veut dire, maintien sur place grâce à un tour de passe-passe policier quelconque, j’y crois un peu – sauf que la police roumaine elle-même n’est pas totalement  irréprochable, les réseaux criminels continueront donc à agir.

    Si insertion veut dire entrée dans la vie économique standard de la Roumanie, dans quel secteur de  cette dernière les insérer ? Le secteur de la construction, sans doute le plus demandeur de travailleurs peu ou pas qualifiés, se trouve en panne : les prix de l’immobilier sont en chute libre ; l’État et les communes n’ont plus d’argent pour créer des emplois publics, et prévoient plutôt de licencier du personnel ; l’agriculture regorge déjà de bras, et est censée gagner en plus en productivité avec l’aide de l’Union européenne; l’industrie, portée par la faiblesse de la monnaie roumaine, semble plutôt avoir besoin d’ouvriers/ouvrières qualifiés; quant aux  services privés (banques, assurances, publicité, etc.), ils n’ont pas besoin de ROMS sans éducation…Sauf à la marge (nettoyage, etc.)

    Rappelons que, sous le régime communiste d’avant 1989,  tous les ROMS avaient du travail, mais qu’ils étaient particulièrement nombreux dans les occupations à faible productivité typiques du plein emploi sous ce type de régime d’économie planifiée. Une bonne part des ROMS constituent donc un immense sous-prolétariat, dont l’économie officielle de la Roumanie capitaliste ne sait que faire.

    Vous me direz peut être : peu importe ! Chacun chez soi et les poules seront bien gardées. Certes. Mais ce serait renoncer à l’idéal européen, qui fait de chaque citoyen européen un frère, et plus encore aux idéaux révolutionnaires, qui font de la France la Patrie des Français…Mais aussi de l’Homme et du Citoyen.

    Si l’État (qui dispose encore d’un fort secteur sanitaire, éducatif, et social, certes sous-financé aujourd’hui) avait vraiment le souci de régler la “situation” il faudrait alors pratiquer une “solidarité européenne” à l’échelle sociale.

    La France possède sans doute, si elle le voulait, bien plus de capacités techniques et humaines d’insertion de ces Roms dans une société capitaliste développée que l’État roumain. Peut être justement parce que, elle a gardée les “bons cotés” du régime marxiste : un Etat Providence dont la Roumanie se défait à vitesse grand V…Aidée en cela par l’UE et le FMI.

    Oui aux expulsions…Mais quand elles seront efficaces. Si c’est pour revoir demain les “expulsés” parce que tout simplement ils préfèrent les verts paturages du pays au désert du leur, à quoi bon de semblables expulsions…Dont le seul intérêt semble t il n’est que de remplir les stats des préfets ?

    MAIS à condition que ces citoyens, qui sont européens, ne soient pas malmenés dans leur droit. Si la France ne peut les acceuillir, alors il lui faut, de toute urgence, casser le traité de Lisbonne et revoir avec ses partenaires les engagements qu’elle a pris à SCHENGEN. Les ROMS – et autres citoyens européens – ne doivent pas payer parce que le Gouvernement n’est pas fichu de lire un traité avant de le signer, et le Parlement d’étudier les conséquences de ce dernier…Au moment de le voter !

    Est ce si difficile d’agir intelligement ?

    Au fait, vous en pensez quoi de ce sondage là ?
    http://www.csa-fr.com/dataset/data2010/opi20100811-l-opinion-des-francais-sur-la-politique-de-securite-interieure.pdf

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