Bonne année 2009. Encore un effort, Monsieur le Président.

Sur ma carte de vœux, j’ai placé en exergue la formule de Jean-Paul II : « N’ayez pas peur ». N’ayez pas peur de défendre vos convictions, les valeurs qui vous paraissent indispensable à notre société, même si la médiocratie dominante les tourne en dérision. Cette phrase a une suite logique : « reprenez confiance ».

La confiance est la clé de la situation actuelle car elle est la clé de voûte d’une société dont les piliers s’appellent, qu’on le veuille ou non, la Démocratie et le marché.

Si les responsables politiques persistent à n’être que des virtuoses de la gesticulation communicante, incapables de prévoir les crises et plus encore d’imaginer puis de vouloir leur solution, la confiance politique et donc la Démocratie laisseront la place à la brutalité des extrémistes simplistes. Ils sont déjà là, introduisent le doute, sapent le moral. La complaisance des médias à leur égard est une honte.

Si les acteurs de l’économie continuent leur vibrionante agitation planétaire, d’un forum à l’autre, des mirages de Dubaï, jusqu’aux paradis de la fiscalité flibustière des Antilles, privilégiant la finance à court terme à la véritable création de richesses par l’innovation et l’industrie, la confiance économique et le marché seront gravement compromis.

Jamais sans doute les organes de contrôle, les observatoires en tout genre, les institutions chargées de la régulation mondiale, les hautes autorités nationales de toute nature, chargées de la mise en œuvre de ce principe sacrosaint dans les sociétés frileuses et vieillissantes, la précaution, n’ont été plus nombreux, et plus impuissants. « Ils » n’ont rien vu venir, « Ils » n’ont rien prévenu, « Ils » ont même laissé agir un escroc usant d’une méthode datant des années 20, et lui-même soupçonné depuis le début de la décennie.

Si les hommes et les institutions inspirent aujourd’hui de la méfiance, d’où naîtra donc en cette année 2009 la lueur de l’espérance ?

La crise actuelle est l’un de ces défis qui peuvent comme le pensait Arnold TOYNBEE, devenir le ressort de l’histoire selon la réponse qui lui sera apportée, selon les valeurs qu’elle privilégiera.

De ce point de vue, les 6 mois de Présidence française du Conseil de l’Union Européenne ont suscité un légitime espoir. Le Président SARKOZY a su restaurer la volonté politique, cette valeur qui distingue les responsables qui sont à la hauteur des pouvoirs qu’ils détiennent, les CHURCHILL, les THATCHER, les DE GAULLE. Ce faisant, il a d’ailleurs démontré que cette volonté prend tout son sens chez ceux qui conduisent de grandes nations et par voie de conséquence, il a souligné l’inconsistance des « machins », tels que la Commission Européenne. C’est aux grandes nations de tracer l’avenir du monde. Ce n’est pas aux États fictifs qui vivent de la piraterie maritime ou bancaire, jusqu’au cœur de l’Europe, pour cette dernière. Ce n’est pas non plus aux États modestes, incapables d’assumer leur défense et de peser si peu que ce soit sur le cours des événements dans quelque endroit du monde.

La volonté est inséparable du courage, celui de prendre des risques et de les assumer lors des conflits internationaux, ou lors de décisions plus restreintes, comme celle d’accorder une grâce « royale » à un « corsaire de la République », Jean Charles MARCHIANI, qui libéra 4 journalistes français retenus en otage au Liban. Comme les corsaires, celui-ci avait fait preuve de courage. Comme eux, il n’était sans doute pas désintéressé. Lors du débat sur la réforme constitutionnelle, j’ai défendu le principe de la grâce individuelle en pensant à Jean Charles MARCHIANI. Cette décision est courageuse. Celles qui consistaient à assurer la gestion hôtelière des prisons au moyen de grâces collectives étaient ineptes.

C’est encore le courage qui parle lorsqu’enfin c’est la politique de l’offre qui est choisie pour le plan de relance. Les démagogues, y compris le Président lui-même au début de son mandat, ont mis en avant le pouvoir d’achat, la consommation, comme si ceux-ci ne dépendaient pas avant tout de notre capacité à travailler et à produire des richesses. Que la Chine soit devenue l’atelier du monde, que l’industrie automobile se délocalise à l’est de l’Europe, que les richesses et le travail aient quitté les rives de l’Atlantique pour celles du Pacifique n’aura donc pas suffi. Il faudrait pour les démagogues du parti socialiste continuer de vivre à crédit pour l’État, de vivre à crédit pour les personnes, en abandonnant notre créativité, en perdant nos savoir-faire.

Encore un effort donc sur le chemin de la volonté : remplacer la stupide discrimination positive et l’illusion communautariste importée, soutenues par les crétins du « politiquement correct » qui confondent la mode et la politique par le volontarisme et la promotion par le mérite, celle qui avait fait de Félix ÉBOUÉ le premier résistant institutionnel et de Gaston MONNERVILLE le second personnage de l’État ; renoncer à l’obsession consommatoire et à l’ouverture des temples consuméristes le dimanche pour laisser celui-ci au sport, à la culture, à la spiritualité, et à la famille, ce véritable pilier de la société, de plus en plus menacé fissuré, oublié par les imbéciles qui devant les micros et les caméras, dans les salles de rédaction et les salons parisiens privilégient le règne de l’individu et de l’instant, celui de la foule solitaire.

Vous l’avez compris 2009 sera une année de lutte, contre le chômage, contre la misère, contre la solitude, contre le renoncement et la désespérance, contre la décadence et ceux qui l’entretiennent parce qu’ils en vivent. Courage ! Ayons confiance !

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5 commentaires

  1. Et tous nos bons voeux de Belgique, Monsieur Vanneste!
    Votre courage est communicatif! C’est vrai qu’il nous en faudra encore beaucoup en 2009, mais nous y arriverons!

  2. Si les hommes et les institutions inspirent aujourd’hui de la méfiance, d’où naîtra donc en cette année 2009 la lueur de l’espérance ?

    Vous cites JPII “N’ayez pas peur”

    En conclusion et pour répondre à la question de la fin de l’article:

    “Entrez dans l’espérance”

    Si nous n’avions la foi catholique, notre espérance serait vaine, et même une folie compte-tenu de la situation actuelle!
    Bonne année à vous et aux vôtres!

  3. Actualité oblige ; je vais m’hasarder à un exercice que vous allez devoir vivre et parfois subir tout au long de cette fin et début d’année. Les Vœux de fin d’année ; et voici non pas les miens, mais ceux imaginaires du Chef de l’Etat de France. (Oui, de France, parce que pour l’heure, on a seulement un Président de l’UMP à l’Elysée)

    Allons y gaiement !

    Mes très chers compatriotes,

    A la même période l’année dernière je vous annonçais de bonnes perspectives pour l’année qui vient de s’écouler.

    Je viens ce jours et solennellement vous annoncer que je me suis trompé ;

    Je me suis trompé parce que comme de nombreux analystes politiques et économiques, j’ai cru que le marché financier seul faisait l’économie d’une nation.

    Je me suis trompé parce que je ne suis pas un analyste politique, mais un chef d’Etat et à ce titre je me devais d’anticiper et de prévoir car, la politique c’est anticiper et prévoir.

    Je me suis trompé parce que j’ai voulu la mort de l’intervention économique de l’Etat en m’alignant derrière les instances extra nationales et à ce titre je n’ai pas su prévoir.

    Je me suis trompé parce que j’ai prévu que le chômage serait en dessous de 5% mais il augmente et ceci bien avant la crise financière venue d’Amérique. A ce titre également je n’ai pas su anticiper.

    Je me suis trompé parce que j’ai cru que pour enrichir la nation, il suffisait de favoriser une partie de la population et celle-ci entraînerait l’autre… A ce titre malheureusement je n’ai pas su prévoir.

    Je me suis trompé parce que les baisses d’impôts et autres gratifications des heures supplémentaires sont aujourd’hui des fardeaux que la nation doit assumer ; en ces temps de crise ou tout le monde tend la main vers l’Etat (Employeurs, employés, chômeurs, précaires, pauvres), je n’ai pas su anticiper.

    Je me suis trompé tout simplement parce que je suis un homme, donc faillible, alors chers compatriotes,

    Il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent pas, mais le plus important c’est de s’en apercevoir.

    Je viens donc solennellement devant vous annoncer que la situation de la nation est grave mais pas désespérée car, nous avons compris nos erreurs.

    Jusqu’à présent la politique de la nation s’est limitée au rationnement de la misère ; quoi de plus normal car, faute de se répartir des richesses qu’on ne produit plus, on se répartit les restes.

    Nous allons inverser cette tendance, nous le pouvons, il suffit d’y croire et de s’en donner les moyens.

    Chers compatriotes,

    Pour réduire la charge sur notre patrimoine, pour augmenter la richesse nationale, tout en encourageant les compatriotes des entreprises du CAC 40, je ne confonds plus leur patrimoine avec celui de la nation car, comme vous le savez désormais, ces entreprises ne jouent plus pour la nation ; elles jouent pour la nébuleuse financière mondiale.

    Il ne faut plus espérer remplir les caisses de l’Etat uniquement que par des moyens fiscaux, car les citoyens et les entreprises n’ont pas des trésors cachés dans des coffres-forts magiques.

    Chers compatriotes,

    Parce que notre pays ne vit pas d’une rente que lui procure sa monnaie par exemple, du pétrole ou d’autres minerais que lui procure sont sous sol, il a choisi pour sa survie : l’intelligence de ces citoyens, leur capacité à s’exporter pour chercher partout les richesses qui lui font défaut et l’humanisme et la solidarité comme fondement de son action, et c’est à l’Etat, donc aux citoyens, d’y veiller.

    C’est pourquoi chers compatriotes je viens vous annoncer que dès le 1er Janvier 2009, l’Etat revient dans la bataille de l’élargissement du patrimoine national pour que tous, privés et public en bénéficient :

    Je retire dès à présent les milliards que j’ai promis ici et là, pour les mettre au service de la collectivité ; aussi, dès demain l’Etat va reprendre ce qu’il n’aurait jamais du abandonner :

    – Il va inventer dans nos universités et dans nos centres de recherches.
    – Il va exporter pour faire entrer l’argent dans ses caisses, c’est-à-dire dans les poches de la collectivité, donc dans nos poches.
    – Il ira chercher partout dans le monde les moyens supplémentaires qui nous font défaut, par des investissements directs dans des unités de production …

    Cette politique est celle qui a donné naissance au patrimoine dont nous jouissons actuellement. Quand EDF, AREVA et bien d’autres entreprises publiques versent des dividendes à l’Etat, ceci correspond à une demande d’impôts et autres taxes en moins aux citoyens.

    Nous allons généraliser cette politique de création d’entreprises dans les domaines où nous accusons aujourd’hui de graves retards.

    Chers compatriotes ;

    Avant de poser un acte quel qu’il soit, économique, social, ou politique, il est important de se demander si cette action profite à la Nation. Si la réponse est positive, continuez ; si elle est négative, abandonnez là même si elle profite à un groupe de citoyens. C’est pourquoi ;

    Nous allons arrêter d’opposer l’action de l’Etat à celle du privé car, c’est un débat démagogique que d’opposer de manière idéologique l’action économique de l’État à celle du privé.

    Nous considérons que l’entreprise publique et encore moins l’entreprise privée ne sauraient être une fin en soi. Ce qui compte, c’est uniquement l’intérêt de l’État.

    Si les investissements des privés restent indispensables, leur caractère aléatoire, leur frivolité et leur frilosité devant le risque ne permettent pas de mettre en place un programme de rattrapage anticipé, planifié, organisé et soutenu dont nous avons besoin en ces temps de crise.

    Malgré mes promesses de milliards, les licenciements continuent, les entreprises continuent à fermer, les banques prêtent moins, et la précarité s’accroît.

    En revanche, les investissements de l’État, parce que planifiés et soutenus tant dans l’espace que dans le temps, permettent de créer non seulement un environnement économique favorable, mais aussi et surtout des préalables sans lesquels le secteur privé ne peut s’épanouir.

    Donc dès à présent et dans la situation actuelle, l’action du privé ne peut être que complémentaire de celle de l’État.

    Chers compatriotes,

    Prenons à l’envers cette citation d’un dirigeant chinois : « Peu importe qu’un chat soit noir ou blanc, ce qui compte c’est qu’il attrape des souris. » Oui, peu importe que l’entreprise soit privée ou publique, ce qui compte, c’est qu’elle fasse rentrer les ressources dont a besoin la nation. Dans la situation actuelle de la France, le rôle de l’État est plus que primordial, car il permettrait d’amorcer l’innovation et l’investissement pratiquement en panne, de créer des entreprises qui feront entrer des devises en France et qui permettront aux privés de faire à nouveau confiance à notre génie.

    Sans l’État, il n’y aurait jamais eu de Bouygues, de Dassault et bien d’autres… ; à l’Etat de favoriser la naissance des nouveaux Bouygues, Dassault, en créant les EDF, AREVA, ALSTOM… dans les nouvelles technologies et l’environnement.

    Chers compatriotes,

    Nous avons compris nos erreurs ; nous ne rêvons plus que nous sommes Américains, Allemands, Norvégiens, Finlandais, Anglais… Nous sommes français, et ressuscitons l’idéal français.

    Nous allons faire la politique qui a fait le miracle français, la politique des intérêts solidaires donc fraternels.

    Cette politique suppose que l’Etat respecte la propriété privée et que le privé respecte la propriété de l’Etat, car les deux concourent au succès de la nation.

    Chers Citoyens, nous venons vous dire que ce succès ne se fera jamais sans vous, et sans un désintéressement de votre part.

    Plus haut, nous avons proposé que l’Etat redevienne directement producteur des richesses ; par son implication dans les productions intéressantes du monde entier. Nous voulons qu’il réapprenne à trouver l’argent ailleurs que dans vos poches. Donc moins d’impôts pour l’avenir.

    Nous venons aussi annoncer la réduction des charges qui pèsent sur vos salaires pour que les revenus de tous (ménages et entrepreneurs loyaux) augmentent.

    Dans ce cas, vous percevrez l’intégralité de votre salaire plus une partie des charges patronales soustrait des retenues de solidarité (impôts et autres contributions) ; (C’est ici une augmenation de salaire conséquente).

    En contrepartie, acceptez que les remboursements sociaux soient équilibrés différemment pour que les comptes des organismes en charge des allocations diverses ne soient plus déficitaires et que pour équilibrer ses comptes, l’Etat augmente la TVA de 1% ;

    Ainsi, chers citoyens, nous allons arrêter de nous soigner, de vivre notre retraite sur le dos des générations futures.

    A partir de ce 1er Janvier 2009, les caisses d’allocations diverses fonctionneront sur un principe d’équilibre et seront mises en concurrence avec des organismes privés.

    Pour votre santé et vos retraites, le choix du système dépendra désormais de vous et de vous seulement ; vous choisiriez votre caisse d’affiliation dans le public ou dans le privé et négocierez la nature des services que vous souhaitez avoir en cas de besoin…

    Chers citoyens, votre seule contrainte sera de vous affilier. Les plus démunis auront toujours une sécurité sociale particulière financée par l’impôt sur les grosses fortunes qui sera désormais une réalité définitive.

    Pour ceux qui sont déjà en retraite et qui ont financé l’ancien système de retraite, leur retraite sera financée par les dividendes des sociétés d’Etat qu’ils ont contribué à créer par leurs impôts.

    Mes chers compatriotes, en situation de crise, les grands remèdes ; Solennellement, je vous annonce que l’Etat s’engage à réduire son train de vie pour faire enfin la politique de nos moyens. En guise d’exemple, je renonce à mon salaire de Président jusqu’à ce que la France retrouve sa croissance.

    Chers compatriotes, soyez donc ces citoyens qui porteront la France à un stade autre que celui dans lequel nos paradigmes semblent vouloir la condamner.

    Vive la France et Vive la République ;

    Fin du discours imaginaire ;

    Revenons aux réalités le discours vrai du chef de l’Etat et devenons un tantinet sérieux :

    Nous attendions un discours de réforme réelle de la politique française actuelle ; mais nous avons suivi un discours complaisant d’autosatisfaction :
    – Qui nous liste les « succès » autour du monde de chef de l’Etat et d’autres voyages à venir. (rien sur la France (combien de “je” par rapport au “nous” et je ne parle pas de l’absence du terme “la France” dans le discours !!!) sinon les promesses des pleurs et des larmes sans perspectives claires de sortie de la crise).
    – Qui nous annonce que la répartition de la misère va continuer (prendre aux uns pour donner aux autres).
    – Ainsi nous savons que les chèques transports seront demandés aux entreprises pour leurs employés ;
    – Nous savons que multiples allocations vont augmenter de 3% ;

    Mais où vont-ils trouver ces milliards ?

    On nous annonce que c’est dans notre épargne qui sera désormais taxée ; mais comme les plus riches sont protégés par le bouclier fiscal et souvent épargnent dans les paradis fiscaux, qui va payer cette facture ?

    La classe moyenne bien sûr et voilà la boucle qui se referme sur la vache à lait du système en cours !

    Si ceci ne suffit pas, ont fera comme pour les banques, ont prendra dans l’épargne que les générations futures n’ont pas encore constituée.

    C’est cette politique là que je condamne ; que ce soit à gauche comme à droite, arrêtons cette gestion de la misère, remettons nous à produire de la richesse dans ce pays pour l’intérêt de tous.

    Qui a dit que la seule vertu de la réforme consiste à réduire ; la réforme peut aussi avoir pour objectif d’accroître les revenus de tous.

    Nos politiques ne savent toujours pas qu’un nouveau monde est en train de se créer et qu’il faut changer notre logiciel de raisonnement. La France est aujourd’hui à un carrefour important de son Histoire. C’est le grand mouvement de la globalisation ; l’Europe s’élargit vers l’Est, de nouveaux pays industrialisés émergent du tiers-monde et ne laissent aucune marge de manœuvre aux nations mal préparées à cette nouvelle donne. Dans cet environnement impitoyable où chaque nation tire la couverture vers soi, la France présente année après année des déficits commerciaux abyssaux. Comme un malheur ne vient jamais seul, tous les indicateurs économiques et financiers sont dans le rouge et une crise financière se lève. C’est de cette crise là que n’a pas parlé notre chef d’Etat, une crise bien française qui ne vient pas d’Amérique.

    Bonne année et tenez bon en espérant que 2009 soit moins sévère qu’on le prévoir et qu’une surprise apparaisse de brouillard.

    Avec un peu de chance, un député courageux – nommé Christian ? – aura peut être l’audace de brandir le drapeau de la France et de parler pour elle…

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