Christian VANNESTE, Député du Nord, affirme son entier soutien au projet Campus Grand Lille. Ce projet, dont la deuxième version doit être présentée au comité d’évaluation indépendant et international le 27 juin prochain, est soutenu par l’ensemble des acteurs locaux, qu’ils soient politiques, socio-économiques et universitaires.
Avec mes collègues députés et sénateurs qui ont été sensibilisés sur ce dossier, notamment Bernard GERARD et Jean-René LECERF, nous souhaitons le porter afin de mettre en avant les atouts de notre offre universitaire pour en faire un réel projet de territoire.
L’Opération Campus vise à renforcer l’attractivité et la visibilité internationale de nos universités françaises. A ce titre, 10 projets seront retenus. Actuellement, 6 ont été acceptés (Strasbourg, Lyon, Grenoble, Montpellier, Toulouse et Bordeaux). La seconde mouture du projet Campus Grand Lille présentée fin juin prochain doit, pour espérer faire partie des 4 autres projets retenus, répondre aux lacunes du premier projet, à savoir : afficher un projet scientifique à la hauteur du potentiel de l’agglomération, préciser le partenariat avec les organismes de recherche et les autres établissements d’enseignement supérieur du site et enfin, préciser les modalités de pilotage de l’opération.
Concrètement, cela signifie une fusion des universités publiques actuelles (Lille I, Lille II et Lille III) afin de les valoriser, et donc de les rénover, en les intégrant dans les univers économique (ce qui est le cas dans notre région avec les pôles de compétitivité par exemple), immobilier et scientifique de l’ensemble du territoire.
« Il est clair que je souhaite m’investir sur ce dossier, et je suis déjà intervenu à deux reprises auprès de Valérie PECRESSE, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, afin de la sensibiliser sur la motivation de tous les acteurs concernés par ce sujet », précise le parlementaire.
“Après Paris, nous sommes la première communauté de chercheurs, et notre situation géographique est un réel atout dans ce dossier“, insiste-il.
