Protégeons-nous ! Plaidoyer pour la vidéosurveillance !

Pour répondre à Alain LARISTAN (la presse de ce samedi), la vidéosurveillance est effectivement mon dada depuis 20 ans. Au début, il est vrai, j’étais un peu seul, mais à présent, il se trouve que même la gauche est pour ! François REBSAMEN, par exemple, Sénateur–Maire PS de Dijon, en a installé dans tous les bus de la ville.

J’encourage les maires de la 10ème circonscription à mettre en place, ou à développer ce système de protection. C’est d’ailleurs pour cela que, dans le cadre de ma réserve parlementaire, j’aide financièrement les communes qui le souhaitent. Il faut rappeler que le décret du 22 janvier 2009 simplifie les démarches et les formalités à accomplir pour se doter d’un système de vidéoprotection. Le Gouvernement a également mis en place un fonds interministériel : l’accompagnement financier de l’Etat peut aller jusqu’à 50% pour financer les études préalables à la mise en place d’un système de protection ; et jusqu’à 100% pour raccorder cette vidéo à un service de police ou de gendarmerie. A titre d’exemple, la ville de Strasbourg, entre 2003 et 2007, a connu une baisse de la délinquance en centre ville de 52,4%, grâce à la vidéoprotection. C’est un instrument de prévention, de dissuasion, mais aussi un outil d’enquête et d’élucidation des crimes et délits.

Très prochainement, un nouveau système sera disponible : sans faire de travaux de génie civil, le système installé sur les mâts d’éclairage public stockera l’énergie la nuit, alimentant ainsi 24h/24 les caméras et leurs transmissions sans fil. Je me rends la semaine prochaine à Washington dans le cadre du Haut Comité Français pour la Défense Civile et suis certain qu’en ce domaine, les américains ont encore beaucoup à nous apprendre…

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4 commentaires

  1. Monsieur le député,

    Je lis à droite à gauche tout et n’importe quoi à propos de la vidéo-surveillance, et bien au delà du simple constat sécuritaire qui apparemment est sujet à caution, je m’interroge sur le respect de la liberté de chacun.
    Pourriez-vous préciser le pourquoi de votre plaidoyer?

    Je me permet, du haut de mes 24 ans, de poser une question: j’habite dans un quartier que la langue de bois m’oblige à appeler populaire. On y voit de tout, les ado fument des pétards dans la rue et certains plus âgés trainent ivre dans la rue, toute la journée, toujours les mêmes, et… au même endroit. Et à côté de cela, j’ai croisé ce midi la police en train de distribuer des amendes pour stationnement gênant. Le fond de mon propos est clair je pense, pourquoi, avant de mettre des caméras, ne pas ordonner à la police de policer au lieux de verbaliser?
    A examiner la structure sécuritaire Française, tout est là, et pourtant, peut de recours sont utilisés. Pourquoi?

    Cordialement,

    Vincent

  2. Tout à fait d’accord avec Vincent, j’irai même un peu plus loin :
    le vrai problème, ce sont les règles d’engagement pusillanimes des forces de l’ordre, dictées par des gouvernements successifs caractérisés par une immense lâcheté.
    Retirer aux citoyens le droit à ne pas être surveillés dans l’espace public parce que la police n’est pas autorisée à faire son boulot, c’est un recul.

  3. Plaidoyer pour enlever la videosurveillance en France…Ou du moins pour ne pas en faire l’élément miracle d’une politique de maintien de l’ordre public :

    1. La vidéo surveillance, c’est quoi ?

    Je commence par là, car quand j’interroge les élus, ils me disent souvent des approximations. Certains croient que cela sert à prévenir les risques d’attentats et les désordres urbains, à dissuader toute présence indésirable, à identifier les terroristes et les délinquants, à superviser l’action des agents de l’ordre sur le terrain, à rassurer les populations, etc.

    Bref, pour les élus, la vidéosurveillance, c’est la boite miraculeuse qui a l’incroyable pouvoir d’enlever tous les malheurs de la Terre ! Du moins, est ce là ce que la plupart des élus disent (du Président au maire)

    Car en réalité, la vidéosurveillance n’a qu’un seul avantage, et il est “politique” : la vidéosurveillance rassure les citoyens, et fait donc (provisoirement) tomber le “sentiment d’insécurité” des administrés.

    En effet, la vidéo surveillance, qui est un outil, et non un être en chair et en os, n’a qu’une seule mission : surveiller à distance un espace déterminé à l’aide de caméras. Point barre. Une caméra n’agit pas. Elle se contente d’observer. Et d’enregistrer ce qui se passe. Rien d’autre.

    2. La vidéo surveillance, çà marche ?

    Protéger les Français contre le risque terroriste ? Admettons qu’on pourrait se laisser convaincre…Si la vidéosurveillance avait déjà apporté la preuve de son efficacité ! Or, force est de constater que ce n’est nullement le cas !

    Les attentats répétés contre des bâtiments publics (gendarmerie, perception, etc.) en Corse, pourtant équipés de caméras de surveillance, semblent plutôt indiquer le contraire !

    Commandé en août 2005 par le ministère de l’intérieur pour étudier l’impact de vidéosurveillance dans la lutte contre le terrorisme en France, un rapport de l’Inspection générale de l’administration (IGA) est d’ailleurs venu confirmer ce que l’on savait déjà : « La lutte contre le terrorisme ne doit pas être un simple alibi pour équiper des secteurs entiers de l’environnement quotidien, sans réflexion approfondie sur l’utilité du dispositif. Dans cette réflexion, aucune question ne doit être éludée, en particulier celle de la contribution réelle de la vidéosurveillance à la prévention des actes terroristes. L’utilité des enregistrements vidéo aux fins d’enquête, lorsqu’un acte a été commis, est établie. (…) On voit moins nettement comment la simple présence de caméras peut empêcher d’agir un groupe de terroristes déterminés et prêts à mourir eux-mêmes. Au demeurant, si l’on a vanté la capacité des britanniques à disposer rapidement des images du commando terroriste [à Londres en juillet 2005], on a aussi remarqué qu’hélas, la vidéosurveillance n’avait pas empêché les terroristes d’agir. »

    Qui plus est, s’agissant de l’utilité des enregistrements à des fins d’enquête, il faut souligner ici que les réussites, très médiatisées, sont rares car la tâche est immense et fastidieuse. En effet, une caméra saisit tout ce qui entre dans son champ de vision, sans égard à une cause précise, et la collecte est prolifique : un appareil traitant 25 images par seconde, c’est-à-dire plus de 2 millions d’images en 24 heures, dans un espace qui compte une vingtaine de caméras, un système capture plusieurs dizaines de millions d’images au cours d’une journée ! Il en résulte que la visualisation apporte toujours des informations excédentaires au regard de la finalité du dispositif. Ce qui, dans la pratique, soulève de sérieux problèmes aux enquêteurs ou aux opérateurs en poste devant leurs écrans. Mike McCahill et Clive Norris rapportent par exemple l’expérience de la police britannique en quête de l’auteur de plusieurs attentats à la bombe à Londres en avril 1999 : près de 1 100 vidéos, contenant plus de 25 000 heures d’enregistrement, ont été visionnées par une cinquantaine d’agents mobilisés pendant dix jours, avant de parvenir à identifier l’auteur de ces actes criminels [5].

    Peut-on prétendre « lutter contre le risque terroriste » grâce à la vidéosurveillance et vouloir en même temps « couvrir le plus large territoire possible » ? La ministre de l’Intérieur (MAM alors)l’affirme avec beaucoup d’aplomb… alors même que ses conseillers les plus proches écrivent clairement le contraire !

    Une fois encore, la lecture du rapport de l’IGA est fort instructive : « Une politique d’équipement généralisé n’est pas l’orientation souhaitable pour les années à venir ; une définition de secteurs prioritaires est plus conforme à l’ordre juridique, aux contraintes financières et aux besoins opérationnels. (…) Tout d’abord, dans le cadre de notre organisation juridique, un équipement généralisé n’est pas souhaitable pour le bon exercice des libertés publiques. Financièrement, ce serait une solution extrêmement coûteuse, contraire au bon usage des deniers publics, qui peuvent être mobilisés contre le terrorisme par d’autres canaux, notamment par le renseignement. D’un point de vue opérationnel, la stratégie policière antiterroriste ne sortirait pas automatiquement renforcée d’une couverture très large du territoire. Trop d’images caméras tuent sinon les images, du moins la possibilité d’exploiter de façon intelligible un flux d’images surabondant. »

    Et contre la délinquance ? La vidéosurveillance est elle le graal que l’on attendait ? A l’évidence…Non !

    En Grande-Bretagne des chercheurs professionnels ont élaboré des méthodes d’évaluation des dispositifs de vidéosurveillance et réalisé de nombreuses enquêtes sur le terrain. Ces études présentent un intérêt majeur dans la mesure où quasiment aucune recherche de ce type n’a été conduite en France]. Or, tous les auteurs s’accordent à souligner qu’il ne suffit pas de greffer des caméras dans les espaces urbains pour prévenir la délinquance. Pour quelles raisons ?

    D’abord, parce que bon nombre de comportements sont imprévisibles. C’est le cas, par exemple, des comportements de nature impulsive (personnes violentes ou agressives). La présence de caméras n’a jamais dissuadé des jeunes gens ivres de se battre à la sortie d’un bar alors que leur « honneur » est en jeu. D’autres comportements sont indétectables par un opérateur vidéo placé devant un mur d’écrans.

    C’est le cas notamment de l’action planifiée de délinquants « professionnels » (comme les pickpockets) qui ont pris en compte depuis fort longtemps l’existence de dispositifs d’alarme et/ou de détection. Ensuite, pour user d’une métaphore technicienne, il faut admettre que les propriétés intrinsèques de la vidéosurveillance sont fort éloignées de celles d’un missile balistique autoguidé. A vrai dire, on pourrait plutôt ranger la vidéosurveillance dans la catégorie des machines à laver : plusieurs programmes sont disponibles mais son propriétaire ne peut lancer qu’un seul programme à la fois. En effet, si la vidéosurveillance peut soutenir plusieurs types d’activités (prévention de certains comportements, aide au déploiement des patrouilles sur le terrain, assistance pour la constitution de preuve, traitement du sentiment d’insécurité de la population, etc.), il est inconcevable qu’un même système puisse servir durablement tous ces objectifs en même temps, avec la même intensité et avec les mêmes opérateurs placés aux commandes.

    Pour expliquer l’efficacité limitée de la vidéosurveillance dans la révention des délinquances urbaines, M. Gill et A. Spriggs soulignent également les défaillances du cadre institutionnel qui a servi au développement des systèmes en Grande-Bretagne. Les programmes de subventions (CCTV Challenge Competition, Crime Reduction Programme et autres) ont encouragé les villes à s’équiper sans avoir à dresser un véritable diagnostic de la situation et à justifier leurs besoins. « De façon générale, soulignent-ils, la vidéosurveillance est perçue comme une fin en soi. Les porteurs de projet et ont une telle foi dans l’efficacité du système qu’ils ne jugent même pas nécessaire de justifier son installation. »

    Si efficacité, fut elle de peu d’importance, il y a…Encore faudrait il que l’on puisse évoluer le rapport efficacité/coût. Or, si la pratique est aujourd’hui courante pour des équipements sanitaires, sociaux ou éducatifs, elle ne l’est pas pour des équipements de sécurité ? Serait ce que les élus savent que la seule véritable utilité de la vidéosurveillance est son rôle “rassurant” ? Et politiquement intéressant ?

    3. Lutter efficacement contre la délinquance, est ce possible ?

    Oui…Répond l’expert Sebastian Roché, qui précise “si les élus souhaitent, vraiment, lutter contre la délinquance, et pas seulement contre un “sentiment d’insécurité” souvent manipulé pour bâtir un terrain électoral”

    Premier enseignement, de cet expert : “l’amélioration de l’éclairage public se révèle souvent plus efficace que la pose de caméras de surveillance.”

    Pourquoi les élus croient ils à ce point au pouvoir miraculeux de la vidéosurveillance ?

    “La plupart du temps, ce sont les sociétés qui conseillent les communes qui sont interrogées par la presse comme expert pour dire si c’est efficace. On comprend que leur réponse est oui. Et les élus lisent les journaux”

    A cela s’ajoute le fait que “sur les questions sécuritaires, les maires s’appuient, généralement sur la Police, la Gendarmerie, et le préfet…Tous les trois peu à même de faire une autocritique de leur méthode” (Surtout qu’au passage, çà arrange pas mal de policiers de regarder tranquillement du commissariat ce qui se passe, plutôt que d’effectuer des rondes)

    Pourquoi les élus ont intérêt à dire “au revoir” à la vidéo surveillance ? “Plus de sécurité, c’est moins de délits : c’est cela qui est apprécié par les citoyens. L’argent dépensé pour la vidéosurveillance ne l’est pas pour autre chose, et, si cela ne marche pas, il est gaspillé, privant la collectivité d’une réduction de la délinquance très attendue par la population. Les gens ne vont pas éternellement se contenter de bonnes intentions ou de manifestations de volonté (si on installe la vidéo, c’est que le gestionnaire ou l’élu ont vraiment la question à coeur).”

    Comment savoir si un système est efficace ? Et notamment la vidéo surveillance ?

    “Aujourd’hui, la délinquance diminue dans certaines communes. Le journal municipal de l’une d’entre elles explique qu’avec la baisse connue, la délinquance atteint le niveau « le plus bas jamais enregistré depuis dix ans » . Comme cet effondrement se produit après la mise en place d’un système de vidéosurveillance, la tentation sera forte de conclure à l’efficacité, et ce au nom du bon sens : « Je crois ce que je vois. »

    Mais, voilà qui est insatisfaisant : la commune d’à côté, qui n’a pas de vidéo dans les rues, a enregistré la même baisse. Conclusion : pour savoir si la vidéosurveillance apporte un bienfait éventuel, il faut être en mesure de comparer les évolutions dans le lieu étudié (rues, parking, école, etc.) et d’autres lieux comparables dans lesquels on n’a pas mis cette technologie en place. On parle de « condition de contrôle ».

    Que sait-on avec le plus de certitude, si l’on s’en tient à un bilan des études les plus indiscutables ? Ce qui ressort des évaluations pour lesquelles on dispose d’une condition de contrôle (un lieu avec lequel comparer celui qui est vidéosurveillé) est que la réduction, lorsqu’elle se produit, est minime, et, parfois, tellement faible qu’on ne sait pas si elle est vraiment significative. Les études trouvent des réductions de l’ordre de 2 % des délits, notamment dans l’habitat social ou dans les centres-ville. C’est tout à fait négligeable, surtout en regard de l’investissement consenti.

    Le fait que les utilisateurs trouvent le système pratique est une autre question : ils ont l’impression que c’est un gage d’efficacité parce qu’ils « voient sur l’écran et vont intervenir ». L’évaluation est là pour rappeler que ce ne sont pas les perceptions des agents qui garantissent l’efficacité d’une mesure. Il ne faudrait pas oublier les effets négatifs, c’est-à-dire contraire à ceux qui sont attendus : une augmentation des délits. Dans les centres-ville, sur cinq évaluations, trois ont apporté une amélioration négligeable de 2 % comme nous venons de le dire, et deux autres un effet « indésirable ».

    Dans les transports en commun, on trouve aussi deux évaluations avec une toute petite amélioration, une sans effet et une avec un effet inverse à celui recherché : les vols avec violence avaient augmenté deux fois plus que dans la station «contrôle » (sans vidéo). Quand toutes ces évaluations sont rassemblées, si l’on calcule une sorte de moyenne, on ne trouve pas d’effet significatif de baisse de la délinquance.

    Il ne s’agit pas de condamner la vidéosurveillance par principe, mais de juger sur les faits. Elle peut apporter, dans des conditions très restrictives, et sur des types de délits précis, des améliorations. C’est le cas dans les parkings. Parfois, l’installation de la vidéo dans un parking diminue jusqu’à 40 % les vols dans les voitures. Mais, si l’on regarde l’évolution du nombre des vols dans l’ensemble des parkings, y compris ceux qui ne sont pas fermés, il a continué à augmenter. De plus la vidéo ne réduit pas les vols de véhicules. On sait que ce résultat est accompli non par la vidéo seule mais en conjonction avec d’autres facteurs ! Et il s’avère même que ce sont ces autres facteurs qui sont les plus significatifs.

    En effet, dans les évaluations qui notent une amélioration de la sécurité du parking, le gestionnaire a pris d’autres mesures comme améliorer l’éclairage ou orienter les patrouilles de police plus souvent dans la même zone. Si l’éclairage et les patrouilles suffisent à expliquer l’amélioration, on pourra préférer ces solutions : elles sont moins coûteuses. Surtout, la police peut être facilement re- déployée au fur et à mesure que la délinquance se déplace. Pas les caméras. Résumons : quand les évaluations sont scientifiques et prennent bien en compte les effets d’autres aménagements comme les patrouilles de police, on ne trouve pas d’effet de la vidéo sur la baisse de la délinquance.

    Cerise sur le gâteau, les rapports d’évaluation qui concernent l’effet de l’amélioration de l’éclairage sur la délinquance montrent de bien meilleurs résultats. L’éclairage public plus puissant réducteur de la délinquance que la vidéosurveillance, tel est bien un des enseignements des évaluations.

    Le débat aujourd’hui tient à l’extension aux espaces ouverts au public (école, centres commerciaux, rues du centre-ville) de la solution miracle que constitue la technologie. La Grande-Bretagne est un pays qui a opté en masse pour ce choix. Aux Etats-Unis, on ne l’a pas fait, ce qui n’a pas empêché ce pays de connaître une décrue importante du nombre de crimes et délits. En France, il y a environ dix fois moins de caméras dans les espaces publics qu’en Grande-Bretagne, ce qui n’empêche pas notre pays de connaître un taux d’agressions physiques deux fois moins élevé que la Grande-Bretagne.

    Ces résultats, et ceux des évaluations scientifiques indépendantes, donnent à réfléchir et feraient bien d’être considérés sérieusement par les élus et gestionnaires d’équipement avant d’investir beaucoup d’argent : la vidéosurveillance n’est pas une baguette magique, bien au contraire. On peut déterminer combien la vidéosurveillance coûte, et on peut dire qu’elle n’apporte pas d’améliorations significatives. Veut-on communiquer avec les usagers et citoyens en utilisant la technologie comme signe de détermination apparente, ou veut-on diminuer le risque d’être victime et augmenter celui de prendre les délinquants ?”

    4. Deux demandes au citoyen et député Vanneste :

    a) demander que chaque année, un rapport soit fait (par des députés issus de divers horizons ou bien par des “experts” (des vrais, pas des lobbies) sur la question)
    b) rencontrer M. Sebastian Roché et Alain Hubler
    c) rencontrer (et pourquoi pas programmer à l’Assemblée) les “experts” Anglais et Américains, qui ont réalisé les rapports dont j’ai parlé, ainsi que les “conseillers” de MAM…Pardon de Hortefeux

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